Actualité - Bourse - Finance : le rouge reste de mise
Le CAC 40 termine ce soir à nouveau en baisse de -0,62 % à 5424, 70 comme l'ensemble des autres places de l'Euroland alors que Londres est à l'équilibre parfait et Zurich en légère hausse de + 0,19 %.
Cette séance un peu en 'aveugle' compte tenu de l'absence de statistiques importantes ou de parutions de résultats de sociétés aura montré à nouveau l'incapacité à trouver pour l'heure un ressort à une hausse quelconque depuis le décrochage de mardi.
Le Dow Jones et le Nasdaq baissent à nouveau légèrement alors que l'indice définitif de la confiance du consommateur US (publié par l'Université de Chicago) est ressorti en baisse à 91,3 contre 93,3 en première estimation et 96,9 en Janvier, marquant à nouveau une déception sur la qualité de la croissance américaine et son soutien essentiel : la consommation des ménages.
Enseignement de la séance du jour : la lourdeur et la vue très courte des marchés actions notamment du CAC qui est resté 'scotché' à la fin de séance d'hier. Si vous ouvrez les 2 graphes de l'article précédent, vous verrez , en les comparant, qu'à chaque seuil issu de la séance d'hier, l'indice a réalisé un rebond avorté :
1/ rebond faiblard au niveau du cours de clôture
2/ rebond sur la zone des gaps ou trous de cotations (au nombre de 2)
3/ rebond une fois le 1er gap comblé
4/ rebond final une fois la zone entièrement comblée
marquant un épuisement de la tendance baissière pour l'horizon de temps considéré. Ne confondez pas une sortie de biseau ascendant sur plusieurs mois et celle d'un biseau de sens inverse sur quelques heures.
Enseignement de la semaine :
Rien n'a changé sur le fond, les déséquilibres sont toujours là pesant en de nombreux endroits ainsi que les soutiens fondamentaux positifs pour le futur mais la vision que les marchés en ont a changé. La psychologie a changé. L'aiguille de ce réveil est tenu par le risque crédit qui se répand partout, visible et subi aux USA avec les dettes hypothécaires 'pourries' qui causent des pertes semant un peu de peur et dont la pointe fine décisive est venue de Chine cette semaine faire éclater un trop plein de spéculation, de 'hot money', de liquidités et de nouvelles dettes déversées sans fin dans un acte préventif et craintif de ne plus pouvoir 'jouer' ainsi durablement de la sorte.
D'autres articles sont à paraître ce week-end
Cette séance un peu en 'aveugle' compte tenu de l'absence de statistiques importantes ou de parutions de résultats de sociétés aura montré à nouveau l'incapacité à trouver pour l'heure un ressort à une hausse quelconque depuis le décrochage de mardi.
Le Dow Jones et le Nasdaq baissent à nouveau légèrement alors que l'indice définitif de la confiance du consommateur US (publié par l'Université de Chicago) est ressorti en baisse à 91,3 contre 93,3 en première estimation et 96,9 en Janvier, marquant à nouveau une déception sur la qualité de la croissance américaine et son soutien essentiel : la consommation des ménages.
Enseignement de la séance du jour : la lourdeur et la vue très courte des marchés actions notamment du CAC qui est resté 'scotché' à la fin de séance d'hier. Si vous ouvrez les 2 graphes de l'article précédent, vous verrez , en les comparant, qu'à chaque seuil issu de la séance d'hier, l'indice a réalisé un rebond avorté :
1/ rebond faiblard au niveau du cours de clôture
2/ rebond sur la zone des gaps ou trous de cotations (au nombre de 2)
3/ rebond une fois le 1er gap comblé
4/ rebond final une fois la zone entièrement comblée
marquant un épuisement de la tendance baissière pour l'horizon de temps considéré. Ne confondez pas une sortie de biseau ascendant sur plusieurs mois et celle d'un biseau de sens inverse sur quelques heures.
Enseignement de la semaine :
Rien n'a changé sur le fond, les déséquilibres sont toujours là pesant en de nombreux endroits ainsi que les soutiens fondamentaux positifs pour le futur mais la vision que les marchés en ont a changé. La psychologie a changé. L'aiguille de ce réveil est tenu par le risque crédit qui se répand partout, visible et subi aux USA avec les dettes hypothécaires 'pourries' qui causent des pertes semant un peu de peur et dont la pointe fine décisive est venue de Chine cette semaine faire éclater un trop plein de spéculation, de 'hot money', de liquidités et de nouvelles dettes déversées sans fin dans un acte préventif et craintif de ne plus pouvoir 'jouer' ainsi durablement de la sorte.
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